Composé d'un maximum de 12 personnes, l'Agora est responsable de :
- Garantir la conformité aux valeurs et objectifs du localismeVolonté de ramener les décisions et les activités à une taille humaine et locale
- Définir et faire vivre les valeurs et les objectifs du localismeVolonté de ramener les décisions et les activités à une taille humaine et locale
- Recruter des nouveaux membres de l’Agora
Mode de fonctionnement :
- Chaque nouveau membre doit être présenté par un parrain
- Les nouveaux membres doivent être acceptés à l’unanimité
- L’agora fonctionne selon les principes des chevaliers de la table ronde, il n’y a aucun chef
- Chaque membre de l’agora peut questionner une activité du MLQ s’il juge que les valeurs et les objectifs ne sont pas respectés
- L’unanimité des membres de l’agora non impliqués dans l’activité peut demander la modification où l'arrêt de cette activité
Les membres de l'Agora
André Bourassa Jeune, je voulais comprendre le monde dans lequel j’allais vivre. Après un B.A (Humanités), je deviens ingénieur physicien, puis économiste. Je suis alors parti voir le monde sur le pouce pendant neuf mois. Au retour, je joins le fédéral en relations internationales. Au cœur de ça, je garde mon focus sur l’humain et je travaille en développement communautaire en Inde depuis 40 ans. J’ai travaillé avec un grand nombre d’agences internationales (Nations-Unies, OCDE et plus). Au cours des ans, j’ai constaté un fossé croissant entre les gens et les grandes organisations. La richesse de l’humain est dans sa diversité mais à l’échelle globale, on ne peut plus la refléter ni la comprendre. L’humain devient abstrait et on en crée un nouveau, mais qui n’existe pas et dont on va s’occuper pour son plus grand bien. On nous informe alors de toutes les catastrophes qui nous menacent de fin du monde, et ils seront nos sauveurs. Nous n’avons qu’à nous soumettre et leur permettre un pouvoir absolu. Hélas, je sais que le pouvoir absolu corrompt absolument. Je suis donc devenu localiste. Parce que le monde que j’observe n’est pas celui que je veux. |
Bernard massie Membre co-fondateur du Mouvement Localiste du Québec, il a obtenu un PhD en microbiologie et immunologie de l'Université de Montréal et a été stagiaire postdoctoral à l'Université McGill, étudiant les virus tumoraux à ADN. Il a travaillé au Conseil national de recherches du Canada (CNRC) de 1985 à 2019 en tant que chercheur en biotechnologie et a occupé différentes fonctions en gestion dont le poste de directeur général par intérim du centre Thérapeutiques en santé humaine de 2016 à 2019. Il a été professeur associé au département de microbiologie et d'immunologie de l'Université de Montréal de 1998 à 2019. Il a été commissaire à la commission d’enquête nationale citoyenne sur la gestion de pandémie Covid-19 au Canada. Il est actuellement consultant indépendant en biotechnologie. Il est membre des comités scientifiques de Réinfo Québec et du Canadian Citizen Care Alliance. Il est conférencier et chroniqueur santé sur ThéoVox. Facebook : Bernard Massie |
Julimaude Guilbert Mère sauvage, femme semi-sage (l'autre moitié assez rebelle), hôtesse de l'âme, philosophe de bord de rivière, nomade pélerine activatrice de coeur de village, (responsabilisation, gouvernance, émancipation), maîtresse d'un poilu zoothérapeutique, gardienne de micro-troupeaux prolifiques (lactofermentations, kéfir de fruit), tisserande de grands rêves lumineux pour ceux qui nous suivront, La Caravane Philo (en cours d'élaboration). |
Marylaine Bélair Œuvrant dans le domaine de la comptabilité et des finances, où elle met à profit sa rigueur, son professionnalisme et son sens de l’engagement. Ancienne candidate et vice-présidente régionale du Parti Conservateur du Québec (PCQ) et également membre fondatrice du mouvement localiste. Veuve et mère de cinq enfants, son vécu l’a menée à suivre une formation pour endeuillés, ce qui enrichit son approche humaine et sa capacité d’écoute. Elle met aujourd’hui cette sensibilité au service de ses engagements, en accompagnant et en soutenant des initiatives à fort impact humain. Animée par des valeurs profondes d’intégrité, de responsabilité et de service, elle poursuit son implication dans des projets porteurs de sens, toujours ancrés dans la réalité des gens. |
Paula St-Arnaud Paula était psychoéducatrice jusqu’au 31 mars 2025. Elle a pratiqué principalement en milieu scolaire multiethnique et défavorisé. Détentrice d’une maîtrise en psychiatrie sociale et transculturelle, elle s’intéresse à l’individu et son meilleur équilibre dans ses différents systèmes. Paula a un intérêt marqué pour les questions de climat social, les dynamiques sociales et relationnelles. Elle est active pour dégager des pistes d’action et des solution aux dynamiques de polarisation et de violence. |
Philippe Langlois |
Philippe Meloni Philippe Meloni, consultant senior en TIC (Technologie de l’Information et de la Communication) et Fondateur de la plateforme Innodirect - Ancien candidat et président de la circonscription de Bertrand pour le PCQ (Parti Conservateur du Québec). Membre fondateur et porte-parole du Mouvement Localiste du Québec - Président pour le Québec de la CeCN (commission d’enquête citoyenne nationale sur la gestion de la pandémie de COVID-19) – Conférencier - Chroniqueur sur Theovox Facebook : Philippe Meloni - publiqueTwitter : @philippemeloni |
Pierre Simard |
Valérie Dussault Elle est diplômée d’un baccalauréat et d’une maîtrise en nutrition de l'Université de Montréal, ainsi que d’une certification en alimentation fonctionnelle obtenue aux États-Unis. Après avoir œuvré quelques années dans le réseau traditionnel, elle a choisi de se tourner vers une approche plus globale, innovante et centrée sur l’humain, en fondant Valérie Dussault Expertise en Alimentation Fonctionnelle. |
Gilles Girard Ayant grandi à Chicoutimi-Nord, j’y ai fait une bonne partie de mes études, assis sur un rocher à regarder la rivière Saguenay s’écouler. Le petit Séminaire n’ayant pas réussi à faire de moi un prêtre, le collégial a pris le relais, mais n’a pas fait mieux, n’ayant pas réussi à faire de moi un infirmier traitant les gens comme des numéros. Finalement, l’université s’est également essayé, mais, n’ayant pas réussi à confiner ma pensée dans une petite boîte, j’ai assumé ma condition de libre-penseur explorant les trois grandes questions : Qui sommes-nous? D’où venons-nous? Où allons-nous? Alors, me lancer dans la mouvance localiste était une suite logique, car l’on ne peut répondre à ces questions qu’en assumant notre souveraineté. |
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